Après les premiers jours de découverte du Kirghizistan et un trek à cheval de 3 jours, nous continuons notre voyage à bord de 2 UAZ en location.

Issyk-kul

Au réveil, après notre bivouac, nous redescendons la piste à travers le canyon puis nous longeons le lac Issyk-Kul par la route. Il y a de très nombreux travaux qui ralentissent considérablement la durée du trajet mais aucun embouteillage à déplorer. Nous faisons quelques courses et le plein d’essence (comme tous les jours !) et nous rendons compte qu’avec les vibrations le 2ème UAZ a perdu sa poignée de coffre !

En voulant s’approcher du départ de la piste n°4 qui longe Issyk-Kul, nous tombons sur un spot de rêve sur une plage de galet. Nous prenons le temps de nous baigner dans le lac, faire une lessive, un pique-nique etc… Il fait chaud et la température de l’eau est agréable. Elle est plutôt douce alors que c’est un lac salé !

Nous rejoignons le départ de la piste n°4, direction le lac salé de Tuz Kul. On paye 150 soms par personne pour l’entrée du parc. Le lac en lui même est petit mais il aurait des vertus médicinales, notamment les maladies de peaux. Aujourd’hui il n’y a pas grand monde mais le week-end, ça doit être bondé ! Nous passons notre route. La piste est sublime : d’un coté le lac, au milieu des petites dunes, et de l’autre côté un paysage désertique avec un canyon au fond… un décor brut et silencieux. Il paraît qu’on peut y croiser des dromadaires. Certaines zones sont techniques, mais les vaillants UAZ peuvent franchir presque tout — même des passages d’oueds, des pistes sableuses ou un canyon éboulé ! La piste n°4 est vraiment très sympa à faire.

On s’arrête en bordure du lac pour un bivouac sauvage, avec une tentative (ratée) de mettre les bières à refroidir dans l’eau du lac… qui est chaude ! Mais l’ambiance est à la fête : on fait une surprise pour l’anniversaire de notre copine.

La soirée se termine par un magnifique coucher de soleil sur les montagnes. Nous allumons un feu et enchaînons les parties d’Uno sur la plage. Puis, d’un coup, le vent se lève. La pluie arrive, on se réfugie dans les véhicules. Le vent souffle fort dans la nuit.

Canyon et panne mécanique

Ce matin, direction le canyon des rivières oubliées. La randonnée pour monter en haut est raide mais rapide. Environ 20min. Là haut, la vue à 360° est splendide. C’est un lieu encore vierge d’aménagement et de touristes qui est encore préservé. Côté pile, le lac Issyk-kul et son immensité, côté face, la roche ocre pliée comme une coulée de lave. Après quelques photos souvenirs, on s’engage sur la piste pour sortir du canyon.

En sortant, nous faisons le ravito pour l’essence et les courses et c’est reparti. On s’engage ensuite vers la piste n°9. On cherche désespérément de l’eau — plusieurs points sont signalés sur les applis, mais aucune trace sur place. Nous finissons par trouver un puits à l’eau trouble. Un habitant étonné, nous exhorte de ne surtout pas la boire. Ce n’était pas prévu mais, même pour la douche ou la vaisselle, ça nous met le doute.

Nous débutons la piste n°9 vers l’ancienne station météo, dès les premiers kilomètres nous tombons sur un torrent de montagne qui a l’air bien plus sain que l’eau de notre pluie. Nous remplissons les bidons.

Une fois les sources d’eau chaudes passées, la piste devient difficile et technique. Une montée rocailleuse et piégeuse nous surprend : le 4×4 cale. Impossible de le redémarrer. Plus d’essence ? Plus de jus ? Difficile de comprendre ce qui se passe alors que nous venons de remettre de l’essence. Gros moment de doute.

On décide de laisser l’UAZ glisser un peu sur le côté pour libérer la piste (heureusement, il ne bloque pas la route) et nous partons chercher de l’aide avec le 2ème UAZ. Nous nous arrêtons au niveau des sources d’eau chaude et de sa guesthouse. Un monsieur qui parle très bien anglais vient vers nous. On lui explique la situation, on discute longuement. Finalement, on penche pour la panne d’essence ce qui est très surprenant vu que nous avons deux réservoirs. Le soleil décline. L’homme va chercher quelqu’un et ils nous accompagnent jusqu’au véhicule. 

Première étape, remettre notre UAZ sur la piste et le plus plat possible grâce au 2ème véhicule. Le remorquage est laborieux mais finit par réussir. Soulagement ! Puis l’un des hommes siphonne notre réservoir secondaire (de secours donc) pour remettre l’essence dans le réservoir principal. C’est censé se faire automatiquement sur notre modèle mais à ce moment-là, avec le dévers, toute notre essence est partie dans le réservoir secondaire et est restée bloquée. Nous étions donc bien en panne d’essence avec pourtant 25L dans le réservoir.

Pendant le processus, on fait connaissance avec nos mécanos de fortune et on se rend compte que l’un est le proprio de la guesthouse et l’autre est un de ses clients! Nous pensions qu’ils étaient amis ou de la même famille mais pas du tout ! Nous rions tous ensemble.

Quelques minutes plus tard, Gauthier essaye de redémarrer l’UAZ et il repart ! Nous offrons une bouteille de vin et des cigarettes à nos sauveurs en remerciement.

On redescend enfin vers une clairière où l’on pose le bivouac pour la nuit. Il est déjà tard. Nous sommes fatigués et légèrement inquiets : l’UAZ sent très fort l’essence. Après un bol de nouilles chinoises, nous allons nous reposer après cette journée remplie d’émotions !

Station météo, sources chaudes et bivouac aux falaises des 7 taureaux

Ce matin, on reprend la piste avec un seul UAZ, direction une ancienne station météo russe perdue dans les hauteurs. On longe une rivière sur un terrain de plus en plus accidenté. La piste devient technique, avec des passages très costauds : de gros rochers, de petits gués à franchir et surtout des ponts dans un état plus que douteux ! Certains ponts sont à la limite du franchissable. Cramponnés aux fauteuils et concentrés, nous continuons de monter. Le dernier pont est compliqué, sur le passage de l’UAZ, les troncs se soulèvent et se déplacent découvrant le vide et la rivière en dessous. Comment allons-nous repartir ? Car la piste est en cul-de-sac.

Arrivés en haut, c’est la récompense : une vue imprenable sur une belle vallée et les montagnes alentour. La station météo, vestige d’une autre époque, trône sur un plateau balayé par les vents. Au loin, une yourte isolée nous rappelle la rudesse de la vie ici. 

Il existe une sorte de tyrolienne pour traverser la rivière. En nous voyant monter dessus, on voit au loin deux petites filles courir vers nous et tirer la corde pour nous aider à traverser. Une fois de l’autre côté, elles nous offrent des petites fleurs et… nous réclament de l’argent. Et c’est là qu’on se dit que le tourisme a déjà fait quelques dégâts. Elles sont déçues de ne pas avoir d’argent. Nous faisons un petit tour de l’autre côté de la rivière avant de reprendre la tyrolienne dans l’autre sens. Cette fois, les petites filles ne nous aident pas et font la tête. Nous décidons alors de leur donner des petites bulles de savon que nous avions apporté et des barres de céréales. Elles sont contentes et nous repartons avec de grands sourires.

La piste du retour tient ses promesses et au moment de repasser sur le pont branlant, on ne fait pas les fiers. Mais ça passe !

Sur le retour, nous décidons de faire une halte bien méritée aux sources chaudes. Trois bassins nous attendent :

  • La source à 38°C à l’intérieur,
  • Un bassin extérieur à 36°C. Visuellement, il fait sale. On voit des particules qui flottent et des résidus de produits comme de la crème solaire ou autre substance corporelle. Il faut faire abstraction…
  • et un bassin naturel dans la rivière, plutôt glacée.

L’enchaînement chaud-froid est revigorant. Attention, il n’y a pas de douche pour se rincer mais des vestiaires pour se changer. Après notre trempette, la propriétaire nous propose du thé. Nous acceptons et nous voyons un vrai petit déjeuner sous nos yeux !

Du miel, du beurre, de la confiture, du pain, de la pastèque, du thé à volonté…C’est un régal et très apprécié après la baignade.

Nous payons 550 soms pour 2 personnes avec le petit déjeuner. Nous nous trompons dans le prix et laissons 1100 soms. Sans regret, rien que pour l’aide apportée la veille lors de notre panne.

Après un pique-nique et un plein d’essence, nous prenons la route vers Jeti-Ögüz, célèbre pour sa falaise des Sept Taureaux. D’un côté, les roches rouges se dressent comme des statues géantes et de l’autre côté de la route, il est possible de s’enfoncer dans un canyon aux parois immenses. Nous faisons une petite balade dans cet endroit impressionnant. En montant jusqu’en haut, il y a un point de vue pour observer le panorama. Une terrasse et des bâtiments sont en construction… ça gâchera sûrement le paysage à l’avenir.

Le bivouac du soir se fait sur une prairie ouverte, avec vue dégagée sur les falaises rouges. On profite de la lumière rasante du soir pour savourer quelques bières fraîches achetées en contrebas dans une supérette.

La soirée est tranquille, paisible. Soudain, une centaine de hannetons se réveillent et bourdonnent autour de nous. Un drôle de moment.

Garage et découvertes à Karakol

Réveil sous la pluie et le vent. On cherche l’entrée du sanatorium abandonné de Jeti-Oguz mais il est fermé et sécurisé.
Pour réparer notre panne énigmatique de l’avant-veille, Vlad de l’agence de location, nous donne le contact d’un garagiste à Karakol. Azamat, qui ne parle pas anglais, change la pompe à carburant (que nous avions dans le coffre de l’UAZ)… mais il n’a pas l’air sûr du diagnostic. Après quelques échanges avec Google Trad, il finit par condamner le réservoir n°2. C’est l’agence de location qui paye l’intervention.

Garage à karakol
Garage à Karakol

Après 2h d’attente nous pouvons repartir. Nous allons en centre ville pour manger un morceau.

On s’installe dans un café/restaurant du centre. Plus tard, nous allons visiter la cathédrale orthodoxe Holy Trinity, tout en bois : joli et original, avec des plantes vertes à l’intérieur.

Holly Trinity à Karakol
Holy Trinity à Karakol

Direction Issyk-Kul pour échapper à la pluie. On finit par se poser dans un camping un peu abandonné au bord du lac. Les pieds dans le sable, nous prenons une douche salvatrice avant que la pluie ne reprenne de plus belle. Un âne est attaché à un arbre, le pauvre, il restera toute la soirée ainsi sans possibilité de se coucher ou de boire…

Le soir, on partage le repas dans l’UAZ de nos amis : un moment simple mais précieux, à l’abri du mauvais temps.

Crevaison au sommet

Réveil sous un grand soleil sur la plage du lac. L’ambiance a changé du tout au tout. On fait le plein d’essence et on achète du pain à 35 soms avant de s’élancer sur la piste n°7 vers Kumtor. La route grimpe en lacets jusqu’à 3100 m. Petite pause café au sommet, puis on poursuit vers l’ancienne mine d’or.

Changement total de décor : on entre dans la vallée d’Arabel, et il se met à neiger ! Les paysages deviennent magiques, désertiques mais on croise des troupeaux de moutons et des yacks. En doublant un troupeau sur la route, les bergers nous font signe : un pneu arrière est à plat. On change la roue sous la neige battante et à 3800m d’altitude, un vrai défi. Une quinzaine de minutes plus tard, nous pouvons repartir. Vive la roue de secours !

La piste vers la mine d’or est roulante mais exposée. Le ciel s’assombrit peu à peu, arrivés à la mine, on ne peut pas aller plus loin. On bifurque alors vers la piste qui passe en niveau 3.

La descente par la vallée de Barskoon est splendide malgré la pluie battante. Nous longeons la rivière. Des troupeaux de chevaux et de moutons ponctuent le décor. Pas de villages, aucune habitation, seulement une nature brute et immense. On déjeune rapidement dans la voiture, humides mais heureux.

Quelques passages à gué impressionnants sont sur la route. Certains peuvent être contournés mais nous aimons le challenge et les UAZ se faufilent partout. Nous continuons la route entre rivières et marmottes.

La piste grimpe ensuite jusqu’au col à 4000 m, qui est enneigé. Nous profitons de la neige quelques minutes avant de redescendre et profiter d’un panorama saisissant.

La descente est rapide. La pluie nous accompagne sur la fin de journée, nous passons par le canyon fairy tale mais les bus de touristes et démonstration de chasse à l’aigle nous font fuir et nous continuons notre route. On trouve finalement un bivouac au bord d’un tout petit lac, le lac Kara-Kul, lové au pied d’un canyon. 

Les collines rouges de Naryn

On quitte les rives du lac et on file vers Naryn. Nous nous arrêtons à Kochkor pour profiter de son marché et de son ambiance. Nous achetons le traditionnel pain cuit collé à la paroi du four. On aperçoit des moutons chargés dans de minuscules coffres de voiture, des femmes qui vendent du lait de jument fermenté, c’est l’effervescence sur le marché…Nous visitons aussi la coopérative des femmes qui vend des souvenirs et autres objets fabriqués à la main par des femmes.

Nous prenons le déjeuner au restaurant Retro au coeur de la rue principale et goûtons quelques spécialités.

La route vers Naryn se fait bien. Il faut passer un col à 3000m. Sur la route, des ruches sont en bord de route et nous tapons des essaims d’abeilles. ça fait tellement mal au cœur !

Arrivés à Naryn, on commence la piste n°14 qui porte bien son nom. Dès les premiers kilomètres, on découvre de grandes collines vertes et marrons qui deviennent rougeoyantes au coucher du soleil. Nous prenons de la hauteur pour le bivouac.

Au loin, un troupeau de brebis arrive. Un berger à cheval et ses deux chiens viennent à notre rencontre. Il ne parle pas anglais mais Alix lui dit quelques mots de russe. Il s’appelle Pakt. Malgré la barrière de la langue, il reste à côté de nous dans le silence. De temps en temps, il sort une paire de jumelles et regarde au loin. Cherche t-il du bétail égaré ? ou un prédateur ?
Puis il descend de son cheval et nous propose de monter dessus. Nous refusons mais apprécions fortement ce geste attentionné.

Ici, l’isolement est total, mais la beauté brute des montagnes compense tout le reste.

Le soleil commence à décliner, Pakt repart au rythme de son troupeau. Le vent souffle fort, nous nous abritons à l’avant du véhicule pour y échapper. Dès que la nuit tombe, le vent s’arrête et les hannetons sortent. C’est l’heure d’aller se coucher.

Canyon et bivouac à Song-Kul

Nous continuons la piste vers le canyon. Elle est cassante mais de niveau facile par temps sec. Elle apparaît dangereuse après la pluie car la glaise doit devenir collante. Nous observons les points de vue, les marmottes et le fameux canyon à la fin de la piste. Nous pouvons aussi voir des gombèzes, mausolées d’argile centenaires.

En fin de matinée, nous rejoignons Naryn. Nous profitons de ce passage en ville pour faire réparer notre pneu. Nous tentons notre chance chez Abyek qui a une toute petite pièce ouverte sur la rue. Il ne parle pas anglais mais va chercher sa femme Nurissha pour qu’on puisse échanger. Elle a fait des études d’anglais puis a eu 7 enfants. Ce couple est très gentil, nous avons le même âge et nous discutons tous les 4 le temps de la réparation du pneu. Ils sont très curieux de notre vie en Europe et de notre voyage. La réparation nous coûte moins de 500 soms. Nous ajoutons un pourboire et un petit parfum pour Nurrisha.

Nous profitons d’être à Naryn pour tester le restaurant Khan Tengri, assez réputé. La salle est immense et très chic. C’est dimanche midi et des groupes de touristes passent avant nous. Le service est très long mais nous avons l’avantage d’être au confort et à la clim’. Nous commandons des brochettes de poulet Chachlyk et des Manty. Incompréhension sur la boisson, nous nous retrouvons avec 3L de Coca au lieu de 3 petites bouteilles. Impossible d’annuler la commande et la serveuse culpabilise, nous repartons avec nos 3 litres sous le bras. En résumé, bon mais service long pour des plats rapides.

Après notre plein d’essence quotidien, nous partons pour l’ascension vers Song-Kul par la piste n°15. La piste monte jusqu’à un col à 3000m puis redescend avant de remonter via 33 épingles surnommées “de perroquet” par les locaux. Nous arrivons enfin au lac mais le vent souffle à 3000m. Nous nous installons pour un bivouac dans la plaine avec une vue magnifique entre lac et montagnes.

Le ciel s’embrase au coucher du soleil, et l’on savoure l’impression de voyager sur les traces d’une histoire millénaire.

Chong Kemin

Nous descendons vers Kyzart par la piste n°16. Nous longeons une bonne partie du lac mais les traces sont effacées, il est difficile de trouver le début de la piste. C’est l’heure de faire du vrai offroad à travers champs mais nous n’aimons pas rouler dans les herbages de peur d’abîmer la nature. Nous essayons de couper au maximum en roulant au cap et nous trouvons enfin le début du chemin.

Après un arrêt ravitaillement à Kochkor et un pique-nique à l’ombre, nous attaquons notre dernière piste du voyage : la piste n°2 Chong Kemin : la rivière blanche.

L’entrée du parc est normalement payante mais lorsque nous passons, la barrière est levée et le garde semble endormi. Nous ralentissons mais il ne semble pas bouger. Soit l’accès est gratuit à cette heure, soit ils nous confond avec des locaux en UAZ… Bref, nous passons sans payer.

La piste devient vite caillouteuse et dure avec beaucoup de gros nids de poule. Les kilomètres qui nous séparent du bivouac nous paraissent très longs.

 Finalement, on trouve une zone plate au dessus de la rivière, près d’une ferme. Nous nous mettons sur les berges de la rivière, près d’un pont en construction. Nous faisons notre toilette et profitons de notre dernier repas de bivouac. Nous sommes bien installés mais remarquons que le niveau de la rivière monte doucement. Ce qui est plutôt étrange pour une rivière… Au moment d’aller se coucher, nous préférons jouer la sécurité et allons bivouaquer quelques mètres au-dessus du niveau de l’eau.

Bivouac Chong kemin, Kirghizistan
Bivouac Chong Kemin, Kirghizistan

Derniers kilomètres en UAZ

Nous prenons le temps de bien ranger nos valises et remettre en ordre les UAZ. Il est temps de retourner sur Bishkek et sa circulation difficile.

Nous passons d’abord par le Tunduk Hotel pour déposer nos affaires, puis nous allons déjeuner au Banzaï qui sert un peu toutes les spécialités du monde. La chaleur écrasante de la capitale ne nous avait pas manqué…

C’est l’heure de ramener nos braves destriers chez UAZ Buhanka Rental. Vlad nous accueille, toujours aussi sympathique et avenant. Nous récupérons notre caution. Seuls 15€ seront déduits pour la perte de la poignée de coffre. Nous avons choisi de payer 10€ par véhicule pour le nettoyage. C’est moins de temps perdu et c’est plus de transparence pour le loueur. C’est une bonne option qu’il propose. Autre point positif, nous n’avons pas eu besoin de refaire l’appoint d’essence avant de les rendre.

Nous retournons à l’auberge en taxi. Nous profitons de l’après-midi pour se détendre dans la piscine, se doucher et prendre une bière entre amis.

Pour le repas, nous partons au Coréen sur les conseils de Vlad et d’Azema. Une super expérience et des plats savoureux ! Une belle soirée de clôture pour ce voyage merveilleux en Asie centrale.

Roadtrip au Kirghizistan 1 : UAZ et trek à cheval

Préparer son voyage au Kirghizistan

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